«Pourquoi ne pas payer pour dégrader la langue française, qui est bien à peu près le seul trésor qui nous reste ?» le bon mot est de Jean Dutourd, romancier et essayiste, décédé le 17 janvier dernier – un clin d’œil amusant pour rappeler l’académicien, connu pour sa verve volontiers provocatrice et son roman populaire Au bon beurre, mettant en scène durant l’Occupation la vie d’un couple de crémiers peu scrupuleux.
Faire payer une taxe à ceux qui maltraitent la langue de Molière, un moyen aussi farfelu qu’efficace de devenir riche.